Le laboratoire du Pasteur est actif
Devant l’urgence absolue de la situation, il n’aura fallu que quelques jours à MediCorp pour mettre sur pied son nouveau « Guardians & Thargoids Research Mission Lab » à bord du Louis Pasteur. Ce dernier commence à constituer son stock d’artefacts.
Le Guardians & Thargoids Research Mission Lab, dirigé depuis quelques heures seulement par le Professeur Sharrowkyn, annonce ce soir avoir commencé la constitution d’un stock d’artefacts Guardians et Thargoïds. A ce jour le laboratoire, grâce au concours de valeureux pilotes, amasse déjà plusieurs artefacts, notamment : des reliques, totem, tablettes Guardians, des échantillons Thargoïds, des meta-alliages, des sondes et capteurs Thargoïds, etc. Le professeur Sharrokyn indique que ces artefacts vont constituer un fond pour les expériences et en cas de nécessité. Il souligne que de nouvelles Reliques Hybrides Non Classées ont également été récupérées. Plusieurs d’entre-elles ont été données aux ingénieurs Palin et Ram-Tah pour leurs propres recherches.
Le Directeur du Laboratoire indique ensuite qu’il est essentiel de continuer à constituer ce stock à bord du Louis Pasteur et d’envisager rapidement de passer à la « vitesse supérieure » en récupérant des échantillons sur les intercepteurs, mais également des cœurs Thargoïds.
En parallèle, la sécurité à bord du Louis Pasteur a été grandement renforcée en raison de la dangerosité des items qui y sont entreposés. Selon certaines sources, il n’est pas impossible qu’à terme l’accès au Louis Pasteur se restreigne uniquement à certains pilotes, ceux qui sont membres de MediCorp. Cette information n’a cependant pas été confirmée par l’ONG.
Une équipe du Laboratoire à l’œuvre sur un son nouveau
Plusieurs chercheurs sont actuellement à l’œuvre pour décortiquer un extrait sonore capté dans le système HIP 22460 juste après le déclenchement de l’Onde Proteus. Ce son, nous indique le Louis Pasteur, n’est pas enregistré dans les bases de données des Thargoïds. Le responsable des recherches indique qu’il
« n’est pas possible à l’heure actuelle de tirer la moindre conclusion. Ce son est glaçant et nouveau. Il pourrait très bien s’agir d’un parasitage suite au déclenchement de l’onde Proteus, mais aussi un écho de plusieurs intercepteurs Thargoïds. Dans les scénarios les plus sombres on peut envisager un nouveau type d’intercepteur, voire pire, un vaisseau capital Thargoïds. Mais, pour le moment, tout ceci n’est que supposition. Nous continuons à chercher. »
MediCorp, pour finir, assure que les sauveteurs continuent leurs recherches de nacelles dans le système HIP 22460.
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