Dans toute la galaxie, seules quelques dizaines de pilotes partenaires d’un programme spécifique ont eu la chance de pouvoir tester en avant-première le Python MKII disponible sur les marchés le 7 aout prochain. L’un d’eux est un responsable de Medicorp.
Un vaisseau de sauvetage Hit & Run ?
Depuis le 1 mai 3310 des tests sont effectués par Medicorp pour tester le nouveau Python MKII. Cette variante du modèle de première génération est bien moins polyvalente et normalement destinée au combat. Mais sa particularité, lui permettant d’utiliser avec une grande efficacité le nouveau FSD SSN, en fait un vaisseau auquel l’ONG a décidé de s’intéresser. Voici les retours du pilote d’essai :
Certes, le vaisseau est bien moins doté en espaces internes optionnels que son grand frère et il profite un slot d’arme supplémentaire qui n’intéresse évidemment pas du tout Medicorp. Sur le papier, il s’agit d’un vaisseau taillé pour le combat pouvant sans doute rivaliser avec le Fer-de-Lance. Mais il ne faut cependant pas l’écarter d’entrée de jeu pour une intégration dans notre hangar. En effet, mes sensations avec ce python sont bonnes. Je le trouve plus maniable et nerveux que le modèle existant. En travaillant son propulseur, il peut largement dépasser les 500 m/s ce qui est un atout dans bien des situations.
Effectivement des choix doivent être faits pour l’équiper. Il ne pourra sans doute pas être aussi polyvalent pour les missions d’évacuation. Son destin est sans doute ailleurs.
C’est avec son moteur FSD SSN qu’il se révèle. En supercruise, une fois le module activé, il chauffe beaucoup moins. Avec un réacteur de base en 5C il ne monte même pas au-dessus de 65% de température, c’est incroyable ! Quant à la stabilité pendant ces phases de pleine vitesse qu’offrent les derniers FSD d’Achilles, c’est pratiquement sans comparaison avec les autres vaisseaux. Ce Python MKII a une coque spéciale dont il va falloir profiter.
Son rôle se dessine peu à peu est c’est celui d’un vaisseau d’intervention ultra rapide de recherche et de sauvetage. C’est à mes yeux, une sorte de vaisseau « hit and run » permettant, par exemple, de subtiliser rapidement les nacelles que collectent les Thargoïds avant de fuir vite et loin.
CMDR Aymerix
Nous devons encore tester et nous approprier ce vaisseau et il est encore trop tôt pour savoir s’il recevra une autorisation de vol pour l’ONG, mais son potentiel est bien réel !
Pour l’heure, les instances Medicorp n’ont pas encore statué sur le sort du Python MKII au sein de l’ONG, mais selon nos sources il est fort possible qu’il reçoive assez rapidement son agrément officiel.
Le Kalaktic